lundi 28 novembre 2011

Musique - Serj Tankian 2007

Salut,

Aujourd'hui une critique absolument pas objective sur un album que j'ai découvert il y a peu "Elect The Dead" de Serj Tankian.

Serj Tankian est le chanteur de feu System Of A Down, groupe que j'ai découvert lors de mon adolescence fin de années 90.
Après la pause du groupe en 2006, l'album Elect The Dead sort en 2007 et pour la faire vite, c'est du SOAD.
Serj y pousse la chansonnette aussi bien qu'aux grands jours de Toxicity, les instrumentales sont tout comme dans l'album cité ci-dessus un mélange de passages mélodiques (beaucoup) et de passage bien bourrins (assez peu) avec l'ajout d'un instrument du meilleure effet, le piano.

La voix de Serj est comme à l'accoutumée magnifique, les mélodies sont inspirées et le tout reste diablement en tête. Des chansons comme 'Money", "Empty Walls" ou encore "Saving Us" vous hanteront pendant un moment!

Au final, cet album est une vraie perle ne disposant d'aucune fausse note. Si vous avez aimé Toxicity, cet album est celui qu'il vous faut pour renouveler l'expérience!

vendredi 18 novembre 2011

Cinéma - La foire aux films cultes!!

Salut!

Pour ce billet j'ai décidé de faire une espèce de compilation de mini apologies de films qui me font toujours couler une petite larme quand j'y pense...

Tout d'abord je vais parler du génialissime, cultissime et enormissime Pulp Fiction:



Alors ce film à été réalisé par Quentin Tarantino en 1994, il a reçu la palme d'or à cannes la même année. Une bonne partie du buzz autour de Tarantino (dont aucun des films suivants n'atteint le niveau de celui ci, même s'ils sont pour la plupart très bons) vient de ce film. Il faut dire qu'il a tapé très fort:

  • Casting de malade (Samuel L. Jackson au top de sa classe!!);
  • Scénario génial mené façon puzzle (Mais.... Il était pas mort lui?!);
  • Une bande originale de taré (Surf power!);
  • Des dialogues plus inspirés que jamais .
Au final, un ensemble frais, cohérent, drôle, intéressant qui ne lasse pas  et qui mérite à lui seul l'achat d'un lecteur DVD (bon, je sais tout le monde en a au moins 3 par pièce chez lui mais je trouvais pas de fin)


Second film dans ma collection des trèsors cinématographiques, The Watchmen:




 Alors ce film est le troisième film de Zack Snyder. C'est un tour de force en soit car le comics était connu comme étant inadaptable au cinéma... Déjà çà, bon... Respect. Mais en plus, et c'est ce qui justifie sa place dans ce billet, il est vraiment très très mais alors très bon.

Dans un premier temps, ce film est l'adaptation du comics de même nom publié entre 86 et 87 et dont le scénariste est Alan Moore, le dessinateur Dave Gibbons et le coloriste John Higgins.

Pour faire simple, le film est fidèle au comics à 100%, aussi bien visuellement que scénaristiquement. En plus de cela, les ajouts propres au passage au format cinéma sont impeccables. L'ambiance sonore est en particulier très soignée avec notamment une BO très soignée et un jeu d'acteur des plus inspiré.
On touche ici au principal point fort du film. En effet, nous avons une brochette d'anti-héros parmi les plus interessants de l'histoire du comics selon moi.
  • Le comédien avec son regard froid et tellement réaliste de tout ce qu'il se passe;
  • Ozymandias, personnage aussi précieux que brillant;
  • Le hibou ou comment retirer à Batman toute sa virilité pour un faire un grand timide attachant;
  • Le spectre soyeux qui est vraiment au centre de toute l'histoire;
  • Le docteur Manhattan, sans doute le héros de comics le plus puissant de la création;
  • Rorschack, personnage aussi sombre qu'intéressant.
Mention spéciale pour ce dernier qui est vraiment LA réussite du film, sa voix en VO est énorme, le personnage est déchiré, attachant, en un mot CLASSE!!

A noter que ce petit bijou est sorti aux états unis dans une édition définitive contenant une heure de scènes supplémentaires (pour ceux qui ont lu le comics, il s'agit en grande partie de l'adaptation en dessin animé de la BD qu'un gamin lie dans le comics).


Un petit dernier pour la route, No Country for old men:





Ce film a été réalisé par les frères Coen en 2007. Il est basé sur le roman de Cormack MacCarthy, auteur du célèbre "La Route", adapté au cinéma en 2009 avec Viggo Mortensen.

Ce film nous narre l'itinéraire de 3 personnages, Llewelyn Moss, vétéran de guerre qui met la main sur un jolie paquet de billet par hasard, Anton Chigurh, tueur psychopathe et incontrôlable, embauché pour récupérer l'argent et le shérif Bell, enquêteur en fin de carrière, à la recherche de Llewelyn et qui ne se reconnait plus dans le monde qui l'entoure.
Ce film est pour moi une énorme réussite particulièrement dûe à 2 éléments: 

  • les acteurs sont géniaux, les personnages sont charismatiques et attachants et les suivre tous les trois en parallèle est un vrai plaisir;
  • Les dialogues sont de très grande qualité, digne d'un Tarantino au mieux de sa forme, ils sont le plus souvant drôles et intéressants.
 Il se dégage de ce film une sensation de fraicheur, un je ne sais quoi qui le rend terriblement attachant (ou terriblement chiant selon certains, les avis sont partagés sur ce film...)

Voilà, ces 3 films sont pour moi à voir et à revoir, mais vous, qu'en pensez vous?????

mardi 27 septembre 2011

Une bannière!

Salut,

Pour donner un peu plus d'attrait à ce blog, je me suis relevé les manches et ai œuvré sur Photoshop pour vous offrir cette fresque épique et sensationnelle digne des plus grands artistes underground!!

Plus sérieusement, j'ai voulu que chaque personne qui tombe par hasard sur mon blog puisse savoir de quoi il retourne en jetant un œil sur la bannière.

Ainsi, les éléments suivants constituent la bannière (de gauche à droite):
  • Le fond vient de la jaquette de l'excellent film "The Watchmen",
  • Le personnage de gauche vient de la jaquette de l'édition originale du livre "L'Orange Mécanique";
  • Le triangle et le spectre de la lumière viennent de la jaquette du cultissime "The Dark Side Of The Moon" de Pink Floyd;
  • Les deux petits robots viennent du jeu "Machinarium"; 
  • Le loup vient du jeu "Okami"
Sur ce même loup on peut voir un petit tatouage sur sa cuisse, il s'agit du logo de ma petite chouchoute, la Dreamcast (le détail qui tue!!).

Je tiens à préciser que j'utilisais Photoshop pour la première fois, donc ce n'est pas une prouesse je le sais bien mais j'en suis plutôt content...

lundi 26 septembre 2011

Jeux video - Ikaruga



Bonjour,

après ces quelques mois d'inactivité je relance mon blog (pour de bon je l'espère...) avec un billet sur  un jeu qui me tient énormément à cœur : Ikaruga


Alors Ikaruga est un shoot'em up à scrolling vertical de Treasure sorti en 2001 sur arcade, en 2002 sur Dreamcast, en 2003 sur Game Cube et en 2008 sur XBLA.

Petit rappel, Treasure est un studio japonais qui sort peu de jeu mais la plupart du temps ils sont excellents, voire plus encore.

Ils sont notamment responsables du Cultissime Radiant Silvergun (dont l'aura n'a d'égal que la côte) sur Sega Saturn, du génialissime Sin And Punishment sur Nintendo 64 (le plus beau jeu du support) ou encore du trop méconnu Silhouette Mirage sur Saturn puis sur Playstation.







Le principe du jeu est assez simple pour un shoot moderne. Votre vaisseau dispose de 2 faces, comme un jeton d'Othello, une de ses faces est blanche et l'autre est noire. Tous les ennemis sont soit noires (ceux là tirent des boulettes noires) soit blancs (ils tirent des boulettes blanches), les boss eux disposent des tirs des deux couleurs).
La face blanche de notre vaisseau tire des boulettes blanches (qui sont plus puissantes contre les ennemis noirs) et absorbe les tirs blancs ennemis.
La face noire, c'est l'inverse... (je ne sais pas si mon explication vous a convaincu mais une fois le pad en main c'est très simple à piger).
Cette idée du changement de couleurs (issus d'ailleurs d'un de leur jeu précédent, à savoir Silhouette Mirage) est, sous son air simpliste, un des systèmes les mieux foutus dans le style.

 

 Au fur et a mesure que vous absorbez des tirs ennemis, une jauge se remplit et permet à tous moment de lancer une salve de lasers qui sera plus ou moins puissante en fonction du niveau atteint par ladite jauge. L'armement du vaisseau n'évolue pas pendant le eu, ce qui peux en rebuter certains mais évite également de ce faire tuer bêtement en allant chercher un power up...

Les graphismes sont magnifiques et le design général est juste somptueux, le concepteur des personnages et des vaisseaux, M. Suzuki Yasushi a eu une inspiration divine, il n'y a qu'à voir l'allure du vaisseau (trop petit dans le jeu pour être pleinement apprécié) ou des boss.

Voici une maquette du vaisseau (qui permet de voir sa complexité d'un point de vue de la conception)  il faudra que je me l'offre un jour:

Bon alors c'est bien gentil tous çà mais trois problèmes se posent:

  • Premièrement, le jeu n'a jamais passé les frontières du japon, ce qui impose d'avoir une console jap ou modifiée;
  • Deuxièmement, il cote tout de même assez cher, un problème inhérent au style de jeu lui-même: le shooting game est un marché de niche (comprendre pour population restreinte) et les prix s'en ressentent.
  • Troisièmement, il est bien velu ce jeu, c'est pas forcément le shmup le plus dur mais pour le néophite il reste très difficile.
A noter que deux des trois remarques ci dessus sont à annulés du fait de sa sortie sur le Xbox Live pour la somme très raisonnable de 800 MS points. C'est sans la boite mais c'est abordable et en HD (perso je m'en fou mais ça peu en décider certains)...
En conclusion, ce jeu EST un mut have pour les fans de Shoot et si ce n'est pas votre cas, une petite partie pourra peut-être, tout comme moi, vous convertir à un genre bien plus riche qu'il n'en à l'air...

mercredi 13 avril 2011

Musique - Complex 1970

Bonsoir!

Aujourd'hui je fait la publicité pour un CD que j'ai découvert il y a peu de temps: Complex du groupe... Complex!


  • Nombre de pistes: 15
  • Durée totale: 55 : 48
Alors, que se cache t'il sous cette pochette étonement sobre?

Tout d'abord, ce groupe anglais sonne très San francisco sounds du milieu des 60's.
Leurs morceaux sont globalement courts avec un orgue archi présent (comme sur Witch's Spell ) et une guitare très psyché avec notament des solos bien classes tels que sur la chanson Green Eyed Lucy, ou encore des mélodies proches des Bee Gees première époque ou de Love comme sur la balade Message From The Year 2000.
Une autre influence importante, assumée, du groupe se fait sentir notamment avec le chant, très proche des Who sur certains morceaux.
Enfin chose assez rare, une chanson au forts relants de reggae est même présente (Josie)
Nous abordons ici un des points essentiels de cet album: sa faculté à ouvrir un univers différent à chaque chanson, le groupe ne s'astreint pas à une formule et brasse large dans ses influences, ses thèmes....

Le  sens de l'harmonie de ce groupes est juste énorme et je trouve cela abusé qu'il ne soit pas plus connu que çà...

Globalement ce CD est est une tuerie que tout le monde appréciant un minimum la musique en général mais surtout celle qui fleur bon les sixties devrait avoir!!

Chose nouvelle pour ce blog, étant donné que le vinyle tout comme la réédition cd sont introuvables, voici un lien pour télécharger cette perle:

http://conventionalsound.blogspot.com/2007/06/complex-1970-complex.html

Merci à l'auteur de ce blog pour le partage!

Petite note de dernière minute, le deuxième album de Complex "The Way We Feel" est, bien que moins touche à tout, une bombe de mélodie! A écouter d'urgence également!

jeudi 10 mars 2011

Jeux video - Solatorobo

Aujourd'hui, un billet sur un excellent jeu Nintendo DS: Solatorobo.


Bon alors Solatorobo de Namco Bandaï est sorti au japon en 2010. Sa venue en dehors du sol nippon était pendant un temps envisageable car une demo en français était jouable à la japan expo mais une déclaration récente du directeur du studio affirmerai que sortir le jeu ailleurs qu'au japon n'a jamais été au programme... Affaire à suivre (edit quelques années plus tard : le jeu est bien sorti aux Etats-Unis et en Europe et est en train gentiment de devenir une "Hidden Gem", ruez-vous dessus pendant que vous le pouvez).
Ce jeu est la suite spirituelle du sympathique Tail Concerto sorti sur Playstation première du nom en 1998.
De son ainé il ne retient que le mode de déplacement (à savoir, le robot) et quelques personnages en tant que PNJ.
Ce jeu est sorti en édition collector (celle que j'ai!), elle se divise ainsi:

  • Le jeu
  • La BO du jeu (24 pistes)
  • Un artbook (et un bon artbook, bien complet et très bien illustré)
En plus, du fait de l'avoir pré-commandé, j'ai eu le droit gratos  à:
  • Le prélude Disc (un DVD avec les différents trailers, des interviews...)
  • un flyer de 4 pages renfermant... un autre DVD!

Alors Solatorobo est un action RPG où l'on contrôle Red Savarin, un chien humanoïde se déplaçant à pieds (ou plutôt à pattes!) et dans un robot.
Le jeu se divise en plusieurs phase de jeu, de l'exploration, de l'action (pour les combats), du vol, un jeu de pèche, du tuning de robot... Il y a un scénario principal sous formes de missions obligatoires ainsi que des missions secondaires dont le but unique est de gagner de l'expérience, de gagner de l'argent ou simplement de s'amuser.
En un mot comme en cent, ce jeu est très fun, on enchaine les missions, pour avancer certes mais aussi parce que tout est très plaisant à faire.
Les différentes phases sont toutes très bien réalisées, la jouabilité est excellente et l'enchainement des différentes phases se fait de manière très fluide.
Concernant le scénario, ne bittant pas un mot de japonais, je ne peux que dire que les différentes cinématiques (faites avec le moteur du jeu ou en animé) montre un scénario assez touffus, beaucoup plus que Moi DeVoiR SauVeR PRiNcEssE eT MonDE... Le fait de ne pas comprendre le japonais n'handicape pas l'expérience, le jeu nous montrant bien où il faut aller et la jugeote suffit pour savoir ce qu'il faut faire.





Pour finir, vous l'avez compris j'ai adoré ce jeu!!


mercredi 9 mars 2011

Cinema - Orange Mécanique

Le but d'aujourd'hui n'est pas de faire une critique de ce film tant l'aura en émanant parle d'elle-même (que ce soit en bien ou en mal d'ailleurs...) mais plutôt de parler de la toute dernière édition collector éditée et justifiant enfin le nom de collector tant les autres étaient avares en bonus.


Donc Orange Mécanique est un film sorti en 1971 et adapté du livre d'Anthony Burgess édité lui même en 1962. Le film est très fidèle au roman (que ce soit pour les personnages, les dialogues ou les situations) et je ne peut d'ailleurs que vous inciter à aller lire le livre qui vous apportera une belle surprise à la fin (suspense...)

Pas un critique du film en lui même mais quelques mots tout de même:
  • Le film raconte l'histoire d'Alex, fan de Beethoven, chef d'un petit gang passant ses nuits a casser du clodo, a piller, a violer et a tuer... (réducteur certes, parce qu'ils font tous cela avec une classe folle!). Celui ci se fait arrêter et pour sortir de prison plus vite participe à un programme expérimental pour lui ôter toute violence.
  • La musique du film est un mix entre du classique et des influences sixties.
  • Les dialogues, basés sur ceux du livre, sont un mélange de langage courant et d'argot inspiré du vocabulaire russe. Ces dialogues sont à se damner.
  • Enfin l'esthétique visuelle est définitivement sixties, que se soit dans les formes ou les couleurs.
Concernant l'édition en elle-même, le contenu est attractif:
  • Un making of, enfin la possibilité de se renseigner sur "le comment c'est-y qu'on à fait le film" il dure 48 minutes et montre bien les difficultés rencontrés par Maitre Kubrick lors du tournage;
  • Le retour d'Orange Mécanique: un reportage sur tout le foin qui a été fait à la sortie du film, comment il a été accueilli...
  • Oh Lucky Malcolm: reportage sur la carrière avorté de Malcolm Mcdowell, acteur génial dans le rôle et qui est atteint de la même maladie que Marc Hamill à savoir, un rôle culte et... c'est tout.
C'est un vrai plaisir que de pouvoir se renseigner sur ce film avec des documentaires apportant des éléments au mythe, des anecdotes...


Au final si vous êtes comme moi et que adorez ce film tout en n'ayant qu'une édition "classique", l'achat de cette édition est un bon investissement tant les bonus sont intéressants et comme dirait Alex vous aussi vous vous en prendrez une dans les cabouilles, s'il vous reste des cabouilles.....

mardi 8 mars 2011

Musique - GUN (1968)

Bon, pour ma première critique je vais prendre un disque que j'ai écouté environ 63985 fois et que je possède un cd, en vinyle, en mp3....

  • Nombre de pistes : 8
  • Durée totale : un peu plus de 38 minutes
Alors je sais avec une jaquette comme celle-ci vous vous dites "çà y est j'ai affaire à un cramé" mais il serait dommage de mourir sans jamais avoir écouté cet album!
Gun est un trio guitare/basse/batterie formé à la fin des 60's en Angleterre. Leur point fort est selon moi leur sens de la mélodie couplé à leur éclectisme. Tout y passe dans cet album: un prototype de chanson Hard Rock (Race with the devil), une ballade des plus réussie (Rat Race),un démonstration de guitare à la fuzz (Yellow Cab Man), une instrumentale avec guitare acoustique et en prime arrangements corde/cuivre ou encore la chanson d'outro qui dure la bagatelle de 11 minutes avec son solo de batterie syndicale...
Le dépaysement qui est engendré par les différences de style est forcément déstabilisant au début mais une fois les chansons encré un minimum dans notre esprit cet imbroglio de styles en fait un ensemble étonnamment cohérent!

Place à la musique:

Race with the devil, la chanson la plus connue du groupe, très efficace, un riff de guitare comme celui ci devrait être appris en cours de musique!


Et tout en contraste, Rat Race, une bien belle mélodie...



J'espère vous avoir donné envie d'écouter ce disque......

 L'info en plus: cette jaquette bien caractéristique est sublime en vinyle, croyez moi!

Welcome!

Bon alors pour celui qui se serait perdu ici une petite présentation s'impose!

Je suis ce qu'on appel un communicatif. Dès que j'apprécie quelque chose je ne peux m'empêcher d'en parler autour de moi, saoulant mon entourage à force de citations et de références et c'est pour leur retirer un peu du lourd poids qui leur incombe que de me supporter que j'ai décidé de créer ce blog.

Ici donc je compte faire un compte rendu de ce que je verrais, lirais, entendrais ou quoi que se soit d'autre que je trouverais bon... ou mauvais... ou intéressant... ou inintéressant, enfin tout ce qui me donnera envie de communiquer. Le rythme de parution dépendra de mes trouvailles et de mon temps, j'espère en faire au moins 3 par semaine (Edit après quelques années : LOL).

Je ne sais pas si cela plaira à grand monde mais que les fans de musique psychédélique, de ciné, de manga, de littérature ou de jeux vidéos ainsi que tous autres fassent comme chez eux, la bière est au frigo!!


Bonne lecture!