jeudi 10 mars 2011

Jeux video - Solatorobo

Aujourd'hui, un billet sur un excellent jeu Nintendo DS: Solatorobo.


Bon alors Solatorobo de Namco Bandaï est sorti au japon en 2010. Sa venue en dehors du sol nippon était pendant un temps envisageable car une demo en français était jouable à la japan expo mais une déclaration récente du directeur du studio affirmerai que sortir le jeu ailleurs qu'au japon n'a jamais été au programme... Affaire à suivre (edit quelques années plus tard : le jeu est bien sorti aux Etats-Unis et en Europe et est en train gentiment de devenir une "Hidden Gem", ruez-vous dessus pendant que vous le pouvez).
Ce jeu est la suite spirituelle du sympathique Tail Concerto sorti sur Playstation première du nom en 1998.
De son ainé il ne retient que le mode de déplacement (à savoir, le robot) et quelques personnages en tant que PNJ.
Ce jeu est sorti en édition collector (celle que j'ai!), elle se divise ainsi:

  • Le jeu
  • La BO du jeu (24 pistes)
  • Un artbook (et un bon artbook, bien complet et très bien illustré)
En plus, du fait de l'avoir pré-commandé, j'ai eu le droit gratos  à:
  • Le prélude Disc (un DVD avec les différents trailers, des interviews...)
  • un flyer de 4 pages renfermant... un autre DVD!

Alors Solatorobo est un action RPG où l'on contrôle Red Savarin, un chien humanoïde se déplaçant à pieds (ou plutôt à pattes!) et dans un robot.
Le jeu se divise en plusieurs phase de jeu, de l'exploration, de l'action (pour les combats), du vol, un jeu de pèche, du tuning de robot... Il y a un scénario principal sous formes de missions obligatoires ainsi que des missions secondaires dont le but unique est de gagner de l'expérience, de gagner de l'argent ou simplement de s'amuser.
En un mot comme en cent, ce jeu est très fun, on enchaine les missions, pour avancer certes mais aussi parce que tout est très plaisant à faire.
Les différentes phases sont toutes très bien réalisées, la jouabilité est excellente et l'enchainement des différentes phases se fait de manière très fluide.
Concernant le scénario, ne bittant pas un mot de japonais, je ne peux que dire que les différentes cinématiques (faites avec le moteur du jeu ou en animé) montre un scénario assez touffus, beaucoup plus que Moi DeVoiR SauVeR PRiNcEssE eT MonDE... Le fait de ne pas comprendre le japonais n'handicape pas l'expérience, le jeu nous montrant bien où il faut aller et la jugeote suffit pour savoir ce qu'il faut faire.





Pour finir, vous l'avez compris j'ai adoré ce jeu!!


mercredi 9 mars 2011

Cinema - Orange Mécanique

Le but d'aujourd'hui n'est pas de faire une critique de ce film tant l'aura en émanant parle d'elle-même (que ce soit en bien ou en mal d'ailleurs...) mais plutôt de parler de la toute dernière édition collector éditée et justifiant enfin le nom de collector tant les autres étaient avares en bonus.


Donc Orange Mécanique est un film sorti en 1971 et adapté du livre d'Anthony Burgess édité lui même en 1962. Le film est très fidèle au roman (que ce soit pour les personnages, les dialogues ou les situations) et je ne peut d'ailleurs que vous inciter à aller lire le livre qui vous apportera une belle surprise à la fin (suspense...)

Pas un critique du film en lui même mais quelques mots tout de même:
  • Le film raconte l'histoire d'Alex, fan de Beethoven, chef d'un petit gang passant ses nuits a casser du clodo, a piller, a violer et a tuer... (réducteur certes, parce qu'ils font tous cela avec une classe folle!). Celui ci se fait arrêter et pour sortir de prison plus vite participe à un programme expérimental pour lui ôter toute violence.
  • La musique du film est un mix entre du classique et des influences sixties.
  • Les dialogues, basés sur ceux du livre, sont un mélange de langage courant et d'argot inspiré du vocabulaire russe. Ces dialogues sont à se damner.
  • Enfin l'esthétique visuelle est définitivement sixties, que se soit dans les formes ou les couleurs.
Concernant l'édition en elle-même, le contenu est attractif:
  • Un making of, enfin la possibilité de se renseigner sur "le comment c'est-y qu'on à fait le film" il dure 48 minutes et montre bien les difficultés rencontrés par Maitre Kubrick lors du tournage;
  • Le retour d'Orange Mécanique: un reportage sur tout le foin qui a été fait à la sortie du film, comment il a été accueilli...
  • Oh Lucky Malcolm: reportage sur la carrière avorté de Malcolm Mcdowell, acteur génial dans le rôle et qui est atteint de la même maladie que Marc Hamill à savoir, un rôle culte et... c'est tout.
C'est un vrai plaisir que de pouvoir se renseigner sur ce film avec des documentaires apportant des éléments au mythe, des anecdotes...


Au final si vous êtes comme moi et que adorez ce film tout en n'ayant qu'une édition "classique", l'achat de cette édition est un bon investissement tant les bonus sont intéressants et comme dirait Alex vous aussi vous vous en prendrez une dans les cabouilles, s'il vous reste des cabouilles.....

mardi 8 mars 2011

Musique - GUN (1968)

Bon, pour ma première critique je vais prendre un disque que j'ai écouté environ 63985 fois et que je possède un cd, en vinyle, en mp3....

  • Nombre de pistes : 8
  • Durée totale : un peu plus de 38 minutes
Alors je sais avec une jaquette comme celle-ci vous vous dites "çà y est j'ai affaire à un cramé" mais il serait dommage de mourir sans jamais avoir écouté cet album!
Gun est un trio guitare/basse/batterie formé à la fin des 60's en Angleterre. Leur point fort est selon moi leur sens de la mélodie couplé à leur éclectisme. Tout y passe dans cet album: un prototype de chanson Hard Rock (Race with the devil), une ballade des plus réussie (Rat Race),un démonstration de guitare à la fuzz (Yellow Cab Man), une instrumentale avec guitare acoustique et en prime arrangements corde/cuivre ou encore la chanson d'outro qui dure la bagatelle de 11 minutes avec son solo de batterie syndicale...
Le dépaysement qui est engendré par les différences de style est forcément déstabilisant au début mais une fois les chansons encré un minimum dans notre esprit cet imbroglio de styles en fait un ensemble étonnamment cohérent!

Place à la musique:

Race with the devil, la chanson la plus connue du groupe, très efficace, un riff de guitare comme celui ci devrait être appris en cours de musique!


Et tout en contraste, Rat Race, une bien belle mélodie...



J'espère vous avoir donné envie d'écouter ce disque......

 L'info en plus: cette jaquette bien caractéristique est sublime en vinyle, croyez moi!

Welcome!

Bon alors pour celui qui se serait perdu ici une petite présentation s'impose!

Je suis ce qu'on appel un communicatif. Dès que j'apprécie quelque chose je ne peux m'empêcher d'en parler autour de moi, saoulant mon entourage à force de citations et de références et c'est pour leur retirer un peu du lourd poids qui leur incombe que de me supporter que j'ai décidé de créer ce blog.

Ici donc je compte faire un compte rendu de ce que je verrais, lirais, entendrais ou quoi que se soit d'autre que je trouverais bon... ou mauvais... ou intéressant... ou inintéressant, enfin tout ce qui me donnera envie de communiquer. Le rythme de parution dépendra de mes trouvailles et de mon temps, j'espère en faire au moins 3 par semaine (Edit après quelques années : LOL).

Je ne sais pas si cela plaira à grand monde mais que les fans de musique psychédélique, de ciné, de manga, de littérature ou de jeux vidéos ainsi que tous autres fassent comme chez eux, la bière est au frigo!!


Bonne lecture!